L'hiver approche mais ça commence à chauffer

La tension commence à être de plus en plus tendue sur le plan sociale, des foyers de contestations commencent à prendre forme. Une crise qui n'a trop que duré et qui a fait voir de toutes les couleurs à toutes les classes sociales, surtout la classe ouvrière avec la suspension de Madagascar dans le progamme d'aide aux marchés Américains du secteur Textile (AGOA) qui a engendré la fermeture à tour de rôle des différentes entreprises franches.

Des souffrances et angoisses dues à l'insécurité qui ne cesse de s'accroitre de jour en jour agissent comme un feu de foins dans l'être du malgache qui est au bord de l'explosion.

La violence engendre la violence

La société vit actuellement dans un cumul de colère, frustration et d'agressivité. La violence engendre la violence la masse populaire a marre des exactions, persécutions, intimidations perpetrés par les forces de l'ordre et s'en est pris à deux gendarmes du côté d'Ambohimamory près du Temple FJKM lors d'une action d'intimidation menée par ces derniers.

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Les employés d'une entreprise franche sise dans la zone Galaxy Andraharo ont tenté de forcer la grande portail de l'usine pour revendiquer leurs soldes. Les forces de l'ordre ont été obligé d'utiliser leur arsenal usuel pour mater une foule en colère.

Explosions dans la ville

Deux stations d'essence appartenant à la compagnie pétrolière française Total ont été victime d'attaque à l'explosif, heureusement il n'y a eu aucune perte humaine.

Le domicile de la ministre de la justice de la HAT a été attaquée à l'explosif

Parades militaires

Les militaires manquent d'action et commence se rendre des coups tordus, à se mettre les batons dans les roues.

Avec l'incertitude de la situation de sortie de crise les tensions montent de partout, et le risque d'explosion est à craindre.

Une petite étincelle peut engendrer l'irréparable.